D’abords FT qui fit mine d’ignorer mon passage éclair à Milhac pour réapparaitre aussitôt après mon départ pour Fa-ter une connexion que la fatigue m’empêcha de lui piquer, pointure kynèse, 7c. Avant de poursuivre avec Les courgettes, les autres aussi, 8a, dans le toit voisin de gauche. Etrange comme une cucurbitacée peut se retrouver sur le devant de la scène en même temps et à des milliers de kilomètres de distance, et dans des styles diamétralement opposés. Notre courgette à nous, à Voreppe se cultive dans une grande dalle technique sur un rocher parfaitement sculpté. Un superbe arc de cercle en 7b que nos végétariens locaux, Oliv, Sylvain et Jean-Yves laissent tranquillement murir jusqu’à une prochaine séance.
Avant même que l’année ne commence, j’en avais senti les prémisses. Rien qu’à la lecture de l’étiquette de la boisson alcoolisée et à bulle censée nous faire oublier que plus qu’une nouvelle année, c’est surtout une année en moins. Par quel miracle pouvait-elle venir de nos voisins qui d’habitude réservent toute la finesse de leur cuvée pour faire mariner de simples saucisses ?
Etrange… Et ce qui devait arriver, arriva…une barre au beau milieu du crane qui s’y accrocha jusqu’au petit matin...soit à peu près 11h. Heure à laquelle, embué, j’ouvrai la fenêtre, histoire de partager avec toute la campagne l'odeur fraîche du cuvettard au réveil, un lendemain de fête. Et là, quelle fut ma surprise lorsqu’après mettre frotté 3 fois les yeux pour en être sur, je découvrais comme une hallucination, Oliv, en train de faire des allers retours sur sa poutre colorée des belles prises amoureusement conçues par Nico. Et dire que toute l’année à la même heure, il se refusait de nous rejoindre au pied d’une vraie falaise.
Etrange encore ce coup de fil de Yves le samedi matin suivant. Je m’apprêtai à acquiescer bêtement, pendant une longue tirade sur les valeurs pures ou les bienfaits de l’esprit saint du ski alpiniste. Mais que nenni. Je l’entendis déblatérer des mots comme pas de bloc, variante de connexion, et surtout grand désespoir d’avoir une perche trop courte pour clipper le relais d’une célèbre voies des Lames. On était bien début Janvier et l’homme que se fait d’habitude greffer des skis à la place des pieds était bel et bien en train de grimper. C’est à ne plus rien y comprendre.
Quelques heures plus tard, à Voreppe, ce fut au tour de Sylvain de s’adonner à d’autres étrangetés : short, grimpe en tête, cris à la sharma-titude… pour un belle tentative de première répétition de la cabane au fond du jardin, 7b+. Et comble du comble, en 20 ans de pratique, ce fut la première fois que je croisais une cordée ici. Et de surcroit, des étrangers, descendants du pays aux étranges mœurs culinaires précédemment cité, venus ici tester les dernières nouveautés du grand mur de l’entrée…
Que nous réservera donc cette année 2011 bien singulière ? Surement plein d’extravagances et de découvertes inattendues pour une année encore pleine de passion… dans notre fantastique et délicieux univers LaCuvette.
Etrange encore ce coup de fil de Yves le samedi matin suivant. Je m’apprêtai à acquiescer bêtement, pendant une longue tirade sur les valeurs pures ou les bienfaits de l’esprit saint du ski alpiniste. Mais que nenni. Je l’entendis déblatérer des mots comme pas de bloc, variante de connexion, et surtout grand désespoir d’avoir une perche trop courte pour clipper le relais d’une célèbre voies des Lames. On était bien début Janvier et l’homme que se fait d’habitude greffer des skis à la place des pieds était bel et bien en train de grimper. C’est à ne plus rien y comprendre.
Quelques heures plus tard, à Voreppe, ce fut au tour de Sylvain de s’adonner à d’autres étrangetés : short, grimpe en tête, cris à la sharma-titude… pour un belle tentative de première répétition de la cabane au fond du jardin, 7b+. Et comble du comble, en 20 ans de pratique, ce fut la première fois que je croisais une cordée ici. Et de surcroit, des étrangers, descendants du pays aux étranges mœurs culinaires précédemment cité, venus ici tester les dernières nouveautés du grand mur de l’entrée…
Que nous réservera donc cette année 2011 bien singulière ? Surement plein d’extravagances et de découvertes inattendues pour une année encore pleine de passion… dans notre fantastique et délicieux univers LaCuvette.
6 commentaires:
C'est dingue, j'ai pu voir Oliv' il y a peu sur un pan et il avait exactement les mêmes placements que sur la photo ... pieds dans le vide et bras bloqués ! Y'a pas un des savants fou du team LaCuvette qui pourrais lui pondre une "poutre de pieds" !!!
Oh l'autre...l'hopital qui se moque de la charité...l'homme qui pose n'importe quelle paire de babouches à plat au dessus des oreilles pour ensuite bloquer jusqu'à la cheville !!
Euh, sinon c'est quand mon prochain cours particulier de gainage ??
Et pour moi ?? une planchette pour tirer dessus pour cette nouvelle année !
faut que je m'y remette !!!
Et tu t'y remets à partir de ce samedi ??
tout ça est bien etrange en effet...la tribut grenobloise est effectivement bien etrange, et le maitre de serrer-monie n'est autre que notre yush.... françois
Ben jeudi comme d'hab ... enfin pour nous puisque monsieur va surement trouver une nouvelle excuse (du genre: non, je peux pas, je dois prendre le the avec grand tata ...) tout ca pour eviter de se prendre une rouste et ne pas repartir avec les abdos en vrac ...
Enfin bon, si jamais grand tata peut decaler !
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